Certes, il ne sont pour l’instant pas encore très nombreux, la concurrence étant assez rude vis-à-vis des trackers dits « généralistes ». Celtic, administrateur, parfaitement conscient de la tâche qui l’attend pour faire connaître et perdurer son site, reste lucide : « Il nous faut faire face à la dure compétition dans le monde du torrent, et nous sommes bien conscients de n’être qu’un tout petit parmi tant d’autres. »

Toutefois, l’intérêt grandissant pour les livres numériques pourrait permettre à SoukEboOk de connaître un succès qui ne sera pas démérité !

Disposant d’un design clair et fluide, le site vous propose une palette d’outils qui vous faciliteront la vie, comme par exemple :

• Un système de requête, qui vous permet de poster des demandes afin que vous puissiez obtenir les fichiers que vous désirez.

• Un forum pour communiquer avec la communauté de passionnés qui compose SoukEboOk. En effet, même si celle-ci n’est pour l’instant pas encore très importante, la passion pour la lecture et le partage des membres est incontestable.

• Une organisation optimisée des fichiers : comme le tracker est exclusivement réservé aux eBooks, cela facilite la navigation et la recherche sur le site. Une fonction de recherche avancée est également disponible, pour un plus grand confort.

• Un système de « Seed bonus » permet de gérer son ratio plus facilement, grâce à la possibilité de pouvoir acquérir des bonus d’upload via une boutique.

Et bien plus encore…

SoukEbook, c’est actuellement environ 800 torrents postés et 1300 seeders. La communauté et le contenu ne sont pas encore volumineux, mais en constante évolution. Accessible uniquement sur invitation dernièrement, le tracker a décidé d’ouvrir ses portes pour une durée indéterminée : c’est donc le moment d’en profiter !

Je conclurai cet article par quelques mots de l’administrateur :

- Une brève présentation ?

Bonjour, moi c’est Celtic, le Sysop de Soukebook.
Cela fait une demi-douzaine d’années que j’explore le monde du torrent (avant j’étais sur Emule).
J’ai tout de suite accroché avec cette forme de partage et les communautés qui se formaient autour. J’ai d’abord commencé avec des trackers à communautés québécoises, dû au fait qu’à l’époque j’étais chauve-souris la nuit (et de ce fait zombie la journée…), et que le créneau horaire d’affluence me correspondait le plus.
J’ai débuté sur Passion-Torrents (R.I.P.), où j’ai gravi les échelons un par un… J’y ai appris plein de choses, surtout concernant le fonctionnement et la gestion d’un tel site.
Puis, je me suis lancé dans l’ouverture de trackers Bittorrent (dont Nosferatu, Celtic-Team)… Cela a été suivi d’un raz le bol, donc une bonne pause, puis l’envie m’a repris.

- Pourquoi avoir choisi de vous spécialiser dans l’eBook ?

Concernant le choix de l’eBook comme catégorie, cela est dû tout d’abord au fait que je devais fouiller sur des trackers qui ne me plaisaient pas pour trouver les eBooks que je recherchais.
J’ai alors pensé que proposer le choix d’un tracker spécialisé dans cette catégorie pouvait être utile à une communauté plus ciblée. A présent, plusieurs sites du genre existent, mais je pense que nous pouvons être complémentaires (par exemple, nous ne faisons pas dans les journaux quotidiens).
De plus, ce choix m’a permis de travailler la structure du site pour l’optimiser et le personnaliser pour ce format de fichiers.
Pour résumer, j’ai créé ce site surtout pour proposer un répertoire d’eBooks, et ainsi offrir une alternative aux lecteurs de livres dans ce format.

- Pourquoi choisir le torrent comme moyen de partage, et pas un autre ?

Tout simplement parce que c’est pour moi LA forme de partage.
En ce qui me concerne, le partage implique la participation de plusieurs acteurs (seeders, uploadeurs), et un tracker bittorrent s’est imposé comme la plate-forme idéale pour respecter cette notion d’échange.
Jamais je n’aurais utilisé un concept du genre « Direct Download », car je pense qu’il ne s’agit là que d’une mise à disposition de fichiers, pas de partage réciproque.
Malgré notre jeune âge et les difficultés qui en découlent, nous voulons absolument que cette notion de partage soit respectée, et nous mettons tout en oeuvre pour cela (points seed bonus, etc.).
Notre communauté prend du temps à décoller, car c’est un tracker vraiment spécialisé dans une catégorie, ce qui élimine plus de 50% des adeptes du bittorrent.
A noter que j’ai ouvert le site sans staff ni team, mais certaines personnes s’y sont tout de suite impliquées, et je les en remercie.

- Une citation pour conclure ? 

« La culture est un droit pour tous… Libre à nous de la partager ! »
C’est vraiment ce que je pense, et pas seulement de la culture littéraire, mais sous toutes ses formes. Je trouve aberrant qu’au XXIe siècle on essaie de nous brider et de nous faire payer ce droit aussi primordial.

Je tiens également à remercier vivement le Journal Du Pirate et sa communauté de nous permettre de nous présenter.
Si ma citation parle à plusieurs lecteurs de ce topic, n’hésitez pas à nous rejoindre… Venez vous aussi ajouter votre pierre à l’édifice !

Malgré les déclarations du SNE (Syndicat National des Editeurs) il y a peu, qui ne souhaitait pas envisager de coopération avec la Hadopi (le marché de l’eBook en France ne représente environ que 1% des ventes), les éditeurs préférant se concentrer sur l’offre numérique qui explose avec les ventes de tablettes, dont le succès est croissant.

Camouflet pour Hadopi ?

Hachette, premier groupe français à s’en prendre aux pirates du Web, juge-t-il probablement que la Hadopi n’est pas en mesure de lui apporter les résultats espérés en terme d’infractions constatées et de sanctions ? Au regard de son bilan 2010, on comprend les raisons qui poussent l’éditeur à prendre le problème à bras le corps. Même si la Haute Autorité annonce une montée en puissance du nombre d’adresses IP relevées en 2012, il semblerait que cela ne soit pas suffisamment convaincant. De là à reconnaitre indirectement l’inefficacité de cette loi, il n’y a qu’un pas !

Dernière en date : une accusation aux conséquences importantes concernant un accord entre cinq maisons d’édition (HarperCollins, Hachette Book, Macmillan, Penguin, Simon & Schuster) et Apple sur le prix des eBooks. Les éditeurs ont fixé les prix des livres numériques, en échange de quoi Apple récupère 30% de commission. Le cabinet d’avocats, à l’origine de la plainte, affirme : « Sans cette conduite contraire aux règles de la concurrence, les prix seraient plus bas. »

Le prix des eBooks était volontairement élevé, afin d’obliger le principal concurrent, Amazon, à abandonner sa politique de prix discount, surtout sur les grands classiques de la littérature, grâce auxquels Apple espérait engranger les bénéfices.
Alors que Amazon avait instauré un prix-plafond de 9.99$, les consommateurs devaient ainsi s’acquitter d’un montant pouvant allant jusqu’à 15$ !

Le cabinet d’avocats Hagens Berman Litigation Group lance donc une « class action » (plainte collective) contre Apple et les cinq maisons d’édition. Si les preuves sont jugées recevables, les avocats espèrent que les consommateurs lésés se joindront à leur plainte. Dans ce cas, les dédommagements pourraient s’élever à des millions de dollars.

Alors que le prix plancher d’Amazon permettait de lui assurer une place dominante sur le marché du livre numérique, les pratiques frauduleuses des maisons d’édition ont porté un coup brutal à la vente d’eBooks en ligne. Au delà d’obtenir la place de leader sur le marché des eBooks, ce qui représente des millions de lecteurs, il s’agit avant tout de se positionner sur le marché des tablettes : l’iPad pour Apple et le Kindle pour Amazon.

Et ce, une fois de plus, au détriment du consommateur, qui est la principale victime dans cette affaire.

Quel avenir pour le livre numérique ? Alors que, parfois, le prix de la version vendue en ligne est plus élevé que la version papier !
Allons-nous devoir suivre l’avis de Jean-Marc Roberts, le directeur éditorial des éditions Stock, qui souhaite que les eBooks ne soient plus vendus sur Internet mais essentiellement dans les librairies ?

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Bonjour,
Tout d’abord, parlez-nous un peu de vous…

Bonjour,
Nous sommes une Team de release d’ebooks spécialisée dans les romans (SF, Fantasy, Policier, Bit-lit, etc.) qui a la particularité d’être la seule Team sur ce créneau sur la scène FR (il existe plusieurs scanneurs/ numérisateurs qui font du très bon boulot, mais ils travaillent seuls). Nous avons également pour particularité de ne proposer que des ebooks de « qualité » (c’est-à-dire OCR corrigé, comportant couverture, illustrations et table des matières, relu entièrement par au moins une personne et toujours en multiformat). Nous ne sommes pourtant par les pionniers dans le domaine, les premiers ayant travaillé en tant que Team étaient l’équipe Tarilenwe sur la mule (plus active aujourd’hui).

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Pourquoi avoir créé une team de releases d’ebooks ? Quel est le but de votre démarche ?

La Team est née de contacts réguliers entre plusieurs scanneurs/ numérisateurs/correcteurs sur divers sites. Nous nous sommes d’abord regroupés pour échanger nos productions et « trucs de fabrication », et nous entraider en privé. Puis l’idée d’une Team de diffusion est née, tout d’abord pour pallier l’absence d’initiatives dans ce domaine, alors que le livre numérique est en plein boom (arrivée des reader/Ipad sans aucune offre légale digne de ce nom pour satisfaire les lecteurs numériques).

Nous essayons de combler le vide de l’offre légale (catalogue succinct, DRM bridant les utilisateurs, prix des ebooks indexé sur les grands formats papier et non sur les poches, d’où des prix élevés, non en rapport avec un livre numérique pour lequel les éditeurs ont moins de frais de fabrication, obligation d’achat d’un support précis -epub ou PDF- au lieu d’une œuvre, obligeant parfois les utilisateurs à repayer le support s’ils changent de reader, etc.).

La Team Alexandriz est une organisation non lucrative et bénévole. Nous essayons de partager notre passion pour la littérature, de permettre la diffusion de la culture, en particulier d’œuvres méconnues, non rééditées, de séries cultes pourtant totalement absentes de l’offre légale.

Notre but au départ était également de réhausser le niveau de qualité des romans numériques disponibles sur les boards (la plupart étaient des scans lourds et non adaptés à la lecture sur reader, ou OCR de mauvaise qualité comportant beaucoup d’erreurs et manques). L’échange de nos astuces de fabrication au sein de la Team, et la création de critères de qualité, nous a permis non seulement d’améliorer nos anciens catalogues déjà diffusés auparavant mais également de faire des émules parmi les autres numérisateurs.

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Comment travaillez-vous, vous et votre équipe ? Est-ce à la portée de tous ?

La Team est hétéroclite et variée, aussi bien dans les goûts des numérisateurs/scanneurs que dans les compétences de chacun. Nous nous complétons mutuellement et apprenons beaucoup les uns des autres pour les parties techniques. Certains ne font que du scan, d’autres que des corrections, d’autres pratiquement tout hormis les vérifications/package. Certains ont des prédilections pour un genre défini (SF, Fantasy, bit-lit, etc.) et ne feront principalement que ce genre. L’ensemble nous permet de diffuser un catalogue riche et varié.

Nous classons nos ebooks en fonction de leur qualité et état d’avancement : du « scan » à « diffusé », en passant par « correction et MEP« , « attente de relecture », « relu », « package et conversion », « vérification des packs et test de rendu sous différents readers », « bon pour diffusion » (+ un SAV dernièrement créé pour corriger les erreurs trouvées après diffusion par nous-mêmes ou les lecteurs).

Chaque membre de la Team fait avancer les différents ebooks sur cette « chaîne » suivant sa disponibilité/envie/compétence, chacun travaillant librement sur les ebooks qu’il préfère et suivant sa spécialité. Mais nous pouvons également coordonner nos efforts pour finir une série. Nous indiquons aux autres sur quoi nous travaillons pour éviter les doublons. Nous nous appuyons également sur une communauté de relecteurs passionnés, que nous remercions chaleureusement et qu’il ne faut pas oublier, car ils nous aident aux relectures, la partie la plus longue.

Est-ce à la portée de tous ? Oui, avec un peu de pratique, mais pas forcément de premier abord. Le travail sur les romans est assez technique : Techniques de scan (scanner ou APN, chacun a sa recette perso) ; Maîtrise des différents logiciels d’OCR, scantailor, traitement de texte ; Bonne connaissance des expressions régulières sous Word ou OpenOffice ; Utilisation, voir création de macros ou scripts de correction, Connaissance des différents formats mobiles (CSS des epub, etc.) ; Crack et rip d’epub commerciaux pour retirer DRM et watermarking. Nos techniques commencent aujourd’hui à être rodées, mais elles ont demandé de nombreux tests et les compétences de chacun.

En plus des ebooks, nous diffusons également notre savoir-faire au travers de tutoriels et de diverses macros que nous avons créées, permettant à chacun de fabriquer lui-même ses ebooks.

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Votre activité a un coût : comment la financez-vous ?

Notre activité en elle-même n’a aucun coût, chacun travaillant chez lui avec son matériel de manière tout à fait bénévole. Cependant, nous avons notre propre site public http://www.teamalexandriz.org, que nous avons créé afin de pouvoir présenter l’ensemble de nos releases sans censure (sur certains sites), mais également pour pouvoir regrouper la communauté des scanneurs/numérisateurs et passionnés de lecture numérique, leur permettre de présenter également leurs travaux et faciliter les relectures par des personnes extérieures à la Team. Son hébergement et nom de domaine (coûts minimes, le prix d’un hébergeur basique pour un blog et un forum) sont entièrement financés par les donations des internautes, le site ne comportant pas la moindre pub. Le surplus est utilisé pour l’achat d’epub commerciaux pour rip et diffusion, les dons étant ainsi intégralement redistribués aux internautes.

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Vos ebooks sont publiés sous différents formats. Est-ce une nécessité ?

Ce n’était pas le cas il y a quelques années, mais aujourd’hui, devant la diversité et la multiplication des appareils de lecture, c’est devenu une nécessité (PC, smartphone, tablette –ipad-, reader, voire console de jeux). Il convient, pour satisfaire la demande du plus grand nombre, d’offrir le plus de formats possible. Le PDF ravira les lecteurs sur PC/Ipad ; l’epub, format standard désormais, comblera les lecteurs sur reader/smartphone. Nous tenons également à fournir les sources (.doc et html pour Calibre), afin que chacun puisse modifier les ebooks pour ses besoins personnels (type de reader, déficients visuels, etc.).

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Quelles sont les principales difficultés rencontrées suite à la mise en ligne de vos scans (leech, dénonciation…) ?

Étant la seul Team de romans FR, nous sommes forcément leechés de temps en temps. Si les packs sont repostés tels quels avec tous les fichiers en NFO, il n’y a aucun problème, au contraire, car ces ebooks sont faits pour être diffusés. Cependant, beaucoup de leechers rippent les packs, détaguent les ebooks, voire s’attribuent notre crédit, ce qui n’est pas vraiment respectueux de notre travail. Nous pensons en particulier à certains blogs gratuits qui repostent nos releases détaguées et rippées derrière 3 linckbucks pour clairement gagner de l’argent sur notre travail bénévole. Il y aura toujours des abrutis partout.

Il est également dommage que les leechers ne repostent en général que le PDF, qui est un format « fermé » qui ne permet pas aux possesseurs de readers d’adapter l’ebook à leur lecteur sans perte, alors que nous fournissons les sources doc et html+fichier opf source pour Calibre dans toutes les releases.
Un ebook doit être diffusé dans un format ouvert et modifiable (doc, odt, rtf, html), chacun pouvant créer un PDF en quelques secondes sur son traitement de texte à partir de tel fichier.
On conseille donc de ne pas nourrir les leecheurs et de télécharger les releases initiales non détériorées.

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La loi Hadopi : quelles sont vos craintes à ce sujet ? Pensez-vous qu’elle soit réellement efficace ?

Sur le principe, elle devrait être encore plus inefficace que pour les autres types de médias. Le « poids » réduit des livres permet des diffusions plus souples que pour des films, par exemple. Il permet de s’affranchir facilement du P2P et limite les risques d’interception pour ceux qui ne prennent pas de précautions particulières. De toute manière, la loi Hadopi ne nous concerne pas : avec les décrets actuels, celle-ci ne surveille (pour l’instant) pas les ebooks, mais uniquement les films et musiques.

Auteur: eKlipZ

Plusieurs chiffres se révèlent intéressants :

• Il y a actuellement 4000 à 6000 ebookz en circulation, tout systèmes confondus. Cela représente moins de 1% (entre 0.7 et 1.1%) des titres disponibles en format papier, soit un très faible pourcentage.

• Deux-tiers de ces 4000 à 6000 ebookz sont des BD, ce qui explique ce nombres importants (on compte tout les tomes…). La part de livre audio reste minime.

• Le poids moyen des ebookz est d’environ 30 Mo. Il s’agit donc de livres relativement volumineux (livre de 400-500 pages, bande-dessinées….).

• Un tiers des ebookz de BD sont en PDF, le reste est en image.

• Entre un quart et un tiers des ebookz sont des livres qui ne sont plus édités, on voit donc un rôle de « sauvegarde » du contenu.

Vous trouverez bien plus d’informations sur le compte-rendu synthétique de cette étude, disponible ici.

Tant que les éditeurs ne développeront pas d’alternative vraiment viable et bon marché, le piratage de livre va continuer d’augmenter. Il est d’or et déjà possible de récupérer quotidiennement les 5 plus grands quotidien nationaux sur le Net (surtout via les NewsGroup et le Torrenting), et nombre de magazines traitant de l’informatique sont systématiquement disponible.

(Source : ZDNet / MOTIf )

TryIt

>> Télécharger l’Ebook: ‘ Pirater avec Google !

Voici quelques screens:

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Auteur: Dom

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