Et, pour cela, ils viennent de mettre en place une méthode de recrutement pour le moins originale. Le test, posté sur certains sites ciblés, afin d’attirer l’attention des éventuels candidats, consiste en une série de chiffres et de lettres sans véritable relation les uns avec les autres, et qu’il faut bien sûr déchiffrer. Le résultat donnera une clé permettant d’accéder à la page de recrutement. Rien de plus simple !

Ce qui démontre bien que les futurs espions de demain ne seront pas forcément tous des agents de terrain, mais aussi de fins limiers sur le Web, pouvant s’infiltrer sur des sites, y récupérer des informations… Cela permettra entre autres de se prémunir d’éventuelles cyberattaques. L’actualité récente a été riche dans ce domaine. Et le gouvernement britannique en aurait reconnu plus de 600 ces derniers mois, affectant principalement des sites gouvernementaux sensibles. Donc, autant recruter ce genre de personnes, parce qu’il est préférable de les avoir avec soi que contre soi !

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